rechargement
Les retours des clients Saison 2017/2018
Voici quelques retours d'utilisateurs de TSS, pour la saison 2017/2018. Ce sont les plus représentatifs car je n'ai pas pu tout mettre. N'hésitez pas à ajouter les vôtres si vous en avez, dans les commentaires.
"Pose de ce magnifique couple de pilets à 50 mètre environ avec une 24 grammes pour ma part #9 1/2 en 3/4 choke et une 32 en #9 pour le frangin en full.
un nette et l'autre agonisant quelque seconde avant de ne plus bougé."
"j ai un copain qui a fait il y a une dizaine de jours 9/9 sarcelles à 45m avec une 32 gr en #9 dans son automatique et seulement deux a retirer 7 étaient raides."
"Les tss ont encore parlé la semaine dernière, 2 siffleurs à 65m deux 34gr en 8 , laissé sur place
Ce matin 2 autres siffleurs à 75m deux 40gr en 7 tiré 50cm dessus , les deux au sac ...
Avec un sabatti avec embout demi demi de l armurerie du Moulin."
"Le TSS a encore fait parler son efficacité la nuit dernière dans le Sud-Ouest avec un magnifique mâle de Pilet prélevé à 70 m avec une 34#8 en 3/4 choke et un très beau gros Colvert à 40 m avec une 24#9."
"Bonjour Olivier
Ce matin bernache du Canada à 80 mètres au télémètre 1 cartouche de tss en 7 pas un plis .....
Impressionnant"
"Premier essai de tss et voilà le résultat super content le premier milouin que je prélève poser à environ 50 mètre cartouche tss 36gr en 8 sécher net "on" "off" fusil canardouze Zaballa"
Les étapes du rechargement #2 : fabrication, vérification
Les procédures de fabrication et de vérification
Préparation
Avant de démarrer, il faut que tout soit prêt. Au delà du matériel qui doit être bien disposé sous la main, il faut donc que vous ayez tous les composants en nombre suffisant :
- Douilles amorcées
- Bourres préparées
- Poudre
- Grenaille
- rondelles de sertissage
- Système d'identification des munitions (feutres, étiquettes...)
Pour cela, il vous faut avant tout décider d'une recette. Vous commencez par noter le nom du lot que vous allez faire avec la recette que vous allez employer et le nombre de munitions que vous souhaitez faire. C'est très important afin de vous y retrouver par la suite et d'assurer la traçabilité de vos essais et production. Par exemple, vous pouvez attribuer 20180502-36#7 pour des 36 grammes de TSS#7 confectionnées le 2 mai 2018. Il faudra aussi noter le numéro de recette ou alors les composants utilisés :
- poudre : type, quantité (N° de lot)
- douille et amorce
- bourre (type, épaisseur, nombre de fentes...)
- sertissage
- quantité et type de grenaille
- type de rondelle et épaisseur
Une fois que la recette est choisie et notée, il faut préparer vos ingrédients. La poudre dans un pot de confiture, les billes du bon diamètre dans une boite à beurre, les douilles sur leur support, les bourres et les rondelles en nombre équivalent au nombre de douilles dans un autre petit récipient.
De même, préparez à l'avance les étiquettes associées à votre production.
Fabrication
- Vérification et étalonnage de la balance (une fois au départ)
- Pesée de la poudre
- Transfert de la poudre dans la douille
- Transfert de la bourre dans la douille avec un léger tassage
- Tarage et pesée de la grenaille directement dans la douille
- Mise en place éventuelle du buffer
- Mise en place de la rondelle de sertissage
- Sertissage
- Identification des munitions
Je vous recommande d'effectuer les opérations successivement jusque la septième et de stocker vos douilles prêtes à être serties dans leur support.
Une fois vos douilles prêtes, vous pourrez attaquer l'opération de sertissage et l'étiquetage de vos munitions.
Avec l'habitude, vous vous créerez ou achèterez vos propres outils qui vous permettront de gagner un peu de temps lors de ces étapes vite fastidieuses.
Certains objecteront qu'il n'est pas nécessaire de tout peser et que des doseuses volumétriques peuvent faire l'affaire. C'est un risque que je ne prendrais pas.
Pour avoir rechargé des milliers de cartouches, les dosettes ne sont absolument pas fiables quant à la précision du chargement, ni pour la poudre, ni pour la grenaille. Je recommande donc de peser tout ce que vous préparez. C'est un peu fastidieux mais beaucoup plus sécurisant et plus régulier.
Et lorsque l'on recharge des cartouches à plusieurs Euros pièces, comme avec le TSS, on se doit d'être absolument sûr de la régularité et de l'efficacité des cartouches que l'on réalise.
Vérification
Il est important de vérifier les munitions que vous avez fabriquées. 3 paramètres sont importants :
- La pression
- La vitesse
- Le groupement
La pression se vérifie en examinant les douilles tirées pour voir si elles ne présentent pas de signe de surpression. On peut aussi envoyer quelques exemplaires au banc d'épreuve de Saint-Etienne afin de les tester mais cela a un coût certain.
La vitesse peut se mesure à l'aide d'un appareil dédié. Il en existe de plusieurs modèles qui sont très pratiques à utiliser. La valeur de la vitesse est très importante car elle va directement influer la pénétration finale. Elle a aussi une influence sur le groupement et la régularité de la gerbe, en particulier pour le plomb. Elle aura aussi une influence légère sur les corrections à faire en cas de tir au vol.
Enfin le groupement se mesure en comptant les impacts de billes dans un cercle de 75 cm à 35 m de distance. C'est la méthode standard mais vous pouvez aussi adopter d'autres types de mesures. Certaines revues utilisent deux cercles concentriques (50 et 75 cm) pour évaluer la concentration. Il est aussi intéressant de mesure le nombre de cercles de diamètre 8 cm sans impact, ce qui donne la régularité de la gerbe.
Pour cela, il faut tirer dans une feuille blanche à 35 m est dessiner le ou les cercles après tir. En effet, le centre de la gerbe peut être décalé du fait d'un coup de doigt ou autre et il sera plus facile de procéder ainsi. Je vous conseille aussi de séparer votre cercle en 4 quarts ce qui vous permettra aussi de compter plus facilement et méthodiquement les impacts. Pointer chaque impact avec un coup de feutre ou de crayon pour ne pas en oublier ou en compter certains en double.
Il est nécessaire de faire au minimum 3 tirs avec le même lot afin d'avoir une statistique correcte. Si les 3 tirs ne sont pas cohérents, il est bon d'en faire au moins 2 de plus.
Cette méthode est longue mais vous permettra de connaître avec précision la qualité de vos munitions.
Les étapes du rechargement #1 : le matériel
Les étapes du rechargement (première partie)
Le matériel
Le matériel minimum pour commencer le rechargement est le suivant :
- Une balance précise pour le pesage de le poudre. Elle doit être au minimum précise au 1/100 de gramme. Un large plateau est préférable, accompagné d'une coupelle pour pouvoir égrener convenablement la poudre. Un poids permettant d'étalonner la balance est aussi très important. Vous pouvez aussi opter pour une balance mécanique à fléau aussi voire plus précise qu'une balance électronique mais plus fastidieuse à utiliser.
- Une balance pour la grenaille. Je recommande une précision au 1/10 de gramme avec une portée d'au minimum 100 grammes (500 grammes est parfait).
- Des dosettes et divers récipients pour pouvoir stocker et transférer les composants.
- pots de confiture en verre pour la poudre
- boites à beurre pour la grenaille
- Un sertisseur rond. Le sertissage rond est performant et très facile à faire. Il nécessite de gérer des rondelles complémentaires mais ce n'est réellement pas un problème quand on n'a qu'une petite production à réaliser (quelques centaines de cartouches par an).
- Pied à coulisse au 1/100 de mm
- Un support pour vos douilles
- Un carnet de notes (très important) et de quoi écrire.
Vous pouvez ensuite acquérir du matériel plus perfectionné qui pourra vous permettre de faire des sertissage étoile mais ce n'est pas nécessaire au début.
Enfin, et si vous avez un nombre important de munitions à faire, vous pouvez vous offrir une doseuse automatique de poudre qui rend de grands services. En revanche, il faut standardiser vos poudres et donc vos rechargements car le changement de poudre sur ces doseuses est délicat.
Installation
Pour pouvoir réaliser ses munitions soit même, il faut être au calme et cela nécessite, au moins au début, une grande concentration.
Aménagez vous donc un local tempéré, calme et lumineux dans lequel vous vous sentez bien. Une solide table est obligatoire sur laquelle vous allez fixer vos outils.
Assurez vous que vous ne pouvez pas être dérangé et que vous avez du temps devant vous. Au minimum 2 heures.
La vraie solution ultime pour les tirs lointains en zone humide !
En ce qui concerne la chasse du gibier d’eau, les charges acier sont souvent à la peine et doivent être utilisées dans des armes adaptées et souvent chambrées en magnum (76 mm) voire super magnum (89 mm) alors que certains n’hésitent même pas à passer au calibre 10.
Les sauvaginiers adeptes des lourdes charges et de gros calibres vont bientôt pouvoir ranger leur « goose gun » et autres 10-89. Il y a plus confortable et surtout plus efficace que les charges sur-vitaminées de ces armes venues tout droit des USA.
C’est aussi des USA que nous arrive le substitut qui va révolutionner la chasse au gibier d’eau. Il se nomme TSS, comme « Tungsten Super Shot ».
La densité au secours des faibles charges
Alors non, ce n’est pas de l’acier mais un alliage de tungstène, de fer et de nickel.
Il existe déjà d’excellentes cartouches chargées avec des billes de tungstène. C’est quoi la nouveauté ?!
Tout est affaire de densité ! Alors que l’acier a une densité de 7,8 g/cm3, le tungstène que l’on vous propose dans les cartouches actuelles (Tungsteel, Sphero Tungstene, Ultimate, Xtended et j'en passe) a une densité comprise selon les marques entre 11,2 et 12,5 g/cm3. Ces densités sont toutes légèrement supérieures au plomb qui a une densité de 11 g/cm3 et les munitions chargées avec ces billes donnent des résultats très intéressants.
Mais le TSS boxe dans une toute autre catégorie.
Sa densité est de 18 g/cm3 soit 2,3 fois plus que l'acier et il est au minimum 44% plus lourd que le tungstène "commercial".
Et en quoi est-ce vraiment différent ?
C’est assez simple à comprendre. A masse égale, une bille de TSS est beaucoup plus petite qu’une bille d’acier. Elle est donc freinée beaucoup moins rapidement et conserve sa vitesse plus longtemps. Son énergie à l’impact est donc beaucoup importante et surtout, sa pénétration est bien plus grande.
La pénétration, le facteur létal clé
Les Américains, qui ont une expérience bien plus importante que les Européens dans les munitions de substitutions, ont montré que la pénétration était bien le facteur le plus important dans la réussite d’un tir.
En effet, la bille a beau avoir une énergie terminale importante, si elle ne rentre pas ou peu dans l’oiseau, cela ne fait que le blesser ou au mieux l’assommer. Beaucoup d’exemples vont dans ce sens avec des oiseaux qui prennent bien la gerbe de billes de #4 acier à 45 m et qui repartent comme si de rien n’était. Ils doivent avoir de gros hématomes voire des blessures superficielles mais rien de mortel. Pour prendre une autre image, avec le même marteau dans la même planche, un clou de 120 va s'enfoncer beaucoup moins profondément qu'une pointe de vitrier. C'est exactement le même principe.
Pour tuer proprement, il faut atteindre un organe vital (cerveau, cœur, foie, colonne vertébrale...) et les billes doivent donc pénétrer profondément dans le corps de l'oiseau. On comprend facilement qu'une pénétration de quelques millimètres n'est absolument pas mortelle pour la plupart des gibiers convoités.
Aux USA, on compte qu’il est nécessaire d’avoir une pénétration de 1,5’’ (38 mm) pour les canards et de 2,25’’ (57 mm) pour les oies et ceci afin que le coup soit mortel.
Le TSS : de petites billes pour une portée extrême
A ce petit jeu de la pénétration, le TSS fait très, très fort. L’acier #2 (diamètre 3,75 mm) donne une pénétration à 50 m de 38,6 mm soit le minimum nécessaire pour le canard. A 50 m, le TSS # 9 1/2 (1,9 mm) pénètre également de 38,6 mm et le TSS #9 (2 mm) de 42,8 mm.[1]
Si on compare maintenant le nombre de billes, une bonne 12-76 chargée avec 36 g d’acier #2 va envoyer 167 billes. Une 10-89 chargée avec 46 g va en envoyer 214. Ces 167 billes du 12-76 correspondent à 10,5 grammes de TSS #9 1/2 ou 12,6 g de TSS #9. Les 214 billes à un 13,4 grammes en TSS #9 1/2 et 16,1 grammes en TSS #9.
Un calibre 28-65 (voire même un 36) tire aisément ces charges. En ce sens, il est donc plus efficace qu’un 10-89.
Vous n’êtes pas convaincu ?
Pour vous donner des exemples plus concrets, vous pouvez voir ci dessous la photo d’un adepte qui a tiré ces premières munitions TSS 32 g de #7 1/2 sur deux Bernaches du Canada - la première à 60 yards (54 m) et la deuxième à 57 yards (52 m), toutes deux tombées raides mortes avec des projectiles étant presque tous passés au travers des tissus.
Beaucoup d’utilisateurs outre atlantique parlent d’ailleurs avec humour de « dust » (poussière) pour parler du TSS. Ils utilisent du #7 ½ ou #8 pour les oies (Bernaches du Canada ou oies de neige) avec des résultats étonnants. Le #9 ½ est bien adapté aux canards jusque 50 m, avec du #9 on peut monter à 60 m.
La saison dernière, certains de mes amis ont essayé le TSS. Il a confirmé sur le gibier d’eau de nos contrées ce qu’il a prouvé depuis de nombreuses années sur le terrain aux Etats-Unis. En particulier, un test a été particulièrement révélateur sur quatre oies cendrées tirées à 60-65 m en janvier dernier en baie d’Authie Sud par 4 tireurs différents. La seule qui est restée nette, devinez… celle tirée avec du TSS #7. Une autre est restée blessée et les autres sont parties se faire tuer ailleurs.
Les autres bec-plat tués cette nuit là l’ont été avec des chargements Duplex TSS #9 + Acier #2 pour un total de 37 ou 40 grammes et un coût de revient très acceptable.
A longue distance, le nombre de billes fait la différence
Alors bien sûr, à longue distance, la pénétration ne fait pas tout. Il faut aussi que la densité de la gerbe soit bonne pour que le nombre d'impacts soit suffisant pour occasionner une blessure mortelle.
C’est là où le TSS fait aussi la différence et ceci pour deux raisons.
La première est que le TSS est une sphère parfaite avec un état de surface extrêmement lisse. Les billes ne se déforment pas et donnent une gerbe très concentrée avec en général des groupements proches de 100%.[2]
La deuxième raison est statistique. En effet, une 36 grammes de TSS #9 est chargée avec 478 billes. C’est l’équivalent en nombre de billes de 54 grammes de plomb de #6 par exemple ou 66 gramme d’acier #4. Ce nombre très élevé de billes va nécessairement augmenter la densité de la gerbe à longue distance et donc augmenter la chance d’atteindre un organe vital.
Alors qu’un nombre élevé de billes s’accompagne d’une charge lourde avec de l’acier ou du plomb et donc de vitesses lentes, la vitesse du TSS peut être élevée sans surpression, ce qui renforce son efficacité à longue distance.
C'est même le contraire même car la hauteur de la colonne de billes de TSS est plus faible que celle du plomb ce qui diminue les frottements et donc la pression.
OK, ça c’est par rapport à l’acier. Et par rapport au plomb ?
Les résultats sont presque aussi éloquents en comparant le TSS au plomb qui a une densité de 11 g/cm3. Malgré le fait que le plomb soit interdit en zone humide, il est quand même intéressant d’évaluer ce que le TSS peut apporter en plus.
Moi, au posé jusque 40 m je tire une 36 g de #6
Oui, c’est un grand classique. Alors si on analyse une 36 g de plomb de #6, c’est à dire 2,75 mm, la pénétration de 38 mm est obtenue à la distance maximale comprise entre 45 et 50 m. Le TSS #9½ fait déjà mieux. Au niveau nombre de billes, il y a environ 300 billes de #6 dans une 36 grammes. Pour avoir le même nombre de billes, il faut tirer 19 grammes de TSS #9 1/2 ce qui est précisément la charge d’un 28-65.
Pour les portées ultimes au plomb et les huttiers ne me contrediront pas, on ne fait pas grand-chose de mieux que la 52 grammes de #4. Effectivement, avec une vitesse initiale de 380 m/s (qui est déjà forte pour une munition magnum de ce type), la pénétration de 38 mm est atteinte à un peu plus de 70 m. Le TSS #9½ est dépassé. Il convient de passer au TSS #8 1/2 qui est très proche voire au #8 qui le surclasse largement. En ce qui concerne le nombre de billes, il y a 263 billes de #4 dans cette charge de 52 grammes. Cela correspond à 25 g de TSS #8 1/2 ou 28 g de TSS #8.
Là encore, c’est le calibre 28 qui gagne le 28-70 qui peut monter à 24-25 g sans trop de problème et donc surclasse le 12-76 au plomb.
En conclusion, les 20 - 22 grammes de TSS #9 1/2 représentent une charge meurtrière pour chasser le canard jusque 50 m, 25 grammes de TSS #8 1/2 jusqu’à 55 m et 32 grammes de TSS#8 jusque 60 m.
OK, mais j’ai déjà un 12 !
Bien sûr, on n’est pas obligé de passer au calibre 28 pour aller chasser le canard ! Il est possible de tirer 24 grammes en calibre 12. C'est une charge qui est l'équivalent en TSS #9,5 de 46 grammes de plomb de #6 ou 54 grammes d'acier #4, le confort en plus.
Et quels sont les inconvénients ?
Je ne vais pas tourner autour du pot, l’inconvénient majeur de ce type de projectile est son coût. Cela coûte 1,2 € les 10 grammes ! Cela revient à dire qu’une munition de 24 grammes va revenir à environ 3 €. C’est cher mais en même temps extrêmement efficace.
Il y a un autre inconvénient mais qui est en même temps un avantage… Je m’explique : les munitions chargées avec des billes de TSS ne pourront jamais être encartouché et vendues en France. En revanche, le TSS peut être vendu seul afin d’être encartouché par vos soins.
Et c’est là l’avantage. Pour pouvez créer votre propre munition en fonction de vos besoins.
Besoin d’une munition pour tirer des oies loin au posé : 32 grammes voire 36 de #7 ½ ou #7.
Vous chassez à la passée et recherchez un deuxième coup puissant mais qui ouvre quand même, misez sur le Duplex TSS #9 + acier #4 qui sera efficace de 25 à 60 m pour un prix modéré.
Vous êtes un mordu de bécassine au calibre 20. Orientez-vous vers un duplex TSS #9 ½ + acier #6 qui sera aussi à même de faucher tout bec plat correctement centré jusque 50 m.
Le nombre de combinaisons possibles est infini et permet de s'adapter à toutes les situations et à toutes les armes.
Le dernier inconvénient est les nécessaires précautions qu’il faut prendre pour encartoucher ce type de billes. Comme avec l’acier, on ne peut pas utiliser de bourre grasse… Il faut utiliser le bon type de bourre pour protéger le canon, les bourres acier du commerce faisant le boulot de manière plus que convenable.
Ne vous en faites pas, j’ai déjà développé les recettes qui vont bien et je suis à votre écoute pour éventuellement les faire évoluer en fonction des besoins.
La vraie solution ultime pour le sauvaginier
Le TSS est donc « LA » solution pour le chasseur de gibier d’eau qui souhaite augmenter la portée actuelle des munitions de substitution, quelles qu’elles soient. C’est sans aucun doute ce qui se fait de mieux aujourd’hui et pour bien des années à venir.
Il est aujourd’hui aussi la seule alternative crédible aux possesseurs de petit calibre (inférieur ou égal au calibre 20) pour chasser au marais ou en baie. Avec 18 ou 20 g de TSS #9 ½ ou #9, ils pourront aller chercher les oiseaux très loin.
Et s’ils montent un peu, ils auront même la satisfaction d’avoir, avec leur arme fine et 22 à 24 g de TSS, plus de puissance que les plus gros des calibres magnum, le tout avec un recul et un confort inégalé. Quel plaisir de pouvoir enfin ressortir son calibre 20 à la hutte ou à la passée.
Autre avantage, plus la peine de trimbaler plusieurs armes quand on va à la hutte. Fini le canardouze balançant 72 grammes d’acier pour un résultat toujours décevant. Un seul fusil est largement suffisant. Il suffit d’adapter les munitions, les charges de 24 gramme de TSS #9 et #9 ½ étant les plus polyvalentes. Quelques 32 ou 24 gramme de #7 ½ ou #8 au cas où il se présente des oies et on peut partir tranquille.
Pour commander
Vous pouvez commander sur la boutique de ce site internet les billes brutes. Et pour ceux qui ne savent pas recharger, contactez moi et nous trouverons une solution ensemble.
[1] Ces résultats sont tirés de l’utilisation d’un logiciel calculant en fonction de la vitesse initiale et pour les portées usuelles, la vitesse et l’énergie résiduelle ainsi que la pénétration dans de la gélatine.
[2] Le groupement est le pourcentage de billes se retrouvant à l’intérieur d’un cercle de 30 pouces (76 cm) à 40 yards (36 m).